« Madame, autant appeler les choses par leur nom, c’est un cancer. De nos jours, les traitements conventionnels (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie) sont les seuls efficaces pour combattre cet ennemi. Vous êtes donc en guerre, et vous le savez, il n’y a pas de guerre propre. Nos médicaments sont des poisons, nous ne l’ignorons pas, mais votre corps est à présent un champ de bataille sur lequel ils sont votre armée, ou à tout le moins, vos alliés contre l’ennemi à abattre. Et sachez-le bien, face à cet adversaire redoutable, cette artillerie lourde est de nos jours le seul traitement efficace. » Telle fut, il y a quelques années, la leçon doctement assénée par un grand professeur à l’une de mes connaissances à qui on venait de diagnostiquer un cancer du sein, et qu’elle s’empressa de me réciter, comme subjuguée par ce discours a priori sans appel, alors que j’évoquais auprès d’elle ce que pourraient avoir à lui proposer non pas une médecine holistique mais plusieurs approches tenant compte de la personne dans sa totalité, corps, âme (ou psychisme), et esprit.
Nous nous connaissions depuis quelques mois seulement mais avions suffisamment abordé ce sujet auparavant pour que j’en vienne à voir en elle une femme déterminée et dont la forte tête n’allait pas s’en laisser compter par le discours officiel. Et voilà que contre toute attente, j’entendais, abasourdie, un discours aux images militaires selon lequel deux camps se faisaient face: celui des méchants, représenté par les cellules cancéreuses qu’accessoirement la patiente avait laissé se développer sans rien faire pendant plus de deux ans sous couvert d’obscurs motifs familiaux, et celui des gentils, représenté par une mutilation chirurgicale, les médicaments chimiques et les radiations, autant de techniques reconnues pour la radicalité de leur action pour éliminer les cellules tumorales mais dont les dégâts colatéraux, puisque c’était en ce langage-là qu’il fallait désormais dire les choses, n’en étaient pas moins de notoriété largement publique. Sous le flot des « il faut te battre », « on se battra avec toi », « c’est la mort ou toi, il faut être énergique », et d’autres exhortations de cet acabit, étaie soudain reléguée aux oubliettes l’approche holistique de la santé et de la maladie, le fait que l’on puisse contribuer à sa guérison par le désamorçage de ses racines psycho-émotionnelles, autant de pistes auxquelles ma nouvelle amie, d’abord réfractaire aux méthodes conventionnelles invasives, ne donnait soudain plus aucun crédit. Brusquement, j’assistais à un déni total même de l’existence possible de telles causes à son mal, et l’idée même que de leur décryptage pourrait naître, sinon une guérison spontanée (dont on sait pourtant que de nombreux cas existent), du moins une stabilisation du mal et un soutien à son processus de régression, processus auquel bien sûr était censé contribuer largement, mais à sa juste place, la médecine conventionnelle.
Pour un art de guérir tout autant holistique que scientifique
Le traitement d’une partie du corps ne devrait pas être entrepris sans un traitement du corps entier. Si le corps et l’esprit sont à traiter, vous devez commencer par l’esprit.
(Platon)
Je débutais alors dans la pratique du Reiki. J’avais déjà l’intuition que l’art de soigner ne pouvait être qu’une subtile combinaison, et non un conflit permanent entre les deux, de connaissance technique et savoir-faire holistique, c’est-à-dire multi-dimensionnel, sur les ressorts secrets du corps et de l’âme humaine. Or ce revirement inattendu était un changement radical de donne pour moi. En plus de faire tomber de haut l’idée que je me faisais de la liberté d’esprit d’une personne que je croyais impossible à manipuler, cela avait le mérite de me montrer que paradoxalement, selon le principe même du chêne et du roseau, les gens les plus apparemment sûrs d’eux-mêmes sont souvent aussi les esprits les plus fragiles, pour ne pas dire malléables. Le poids de la famille, de la société et plus encore de l’autorité scientifique peut, quasiment sans peine, faire de l’âme humaine ce qu’il veut. Il suffit de brandir la menace de mort que recèle en lui-même le diagnostic et de présenter la méthode officielle comme la seule valable pour l’enrayer. Aussi hallucinant, voire révoltant que cela ait pu me paraître, voilà donc de quelle façon on pèse si lourdement sur la liberté du patient, que celui-ci n’envisage plus d’autre solution que celle, et c’est bien le cas de le dire, d' »avaler la pilule », aussi amère soit-elle. L’emploi d’une analogie simpliste comme cette métaphore de la guerre et des armées se faisant face n’est dans cette stratégie qu’une manière, à vrai dire redoutablement efficace, d’emporter le consentement prétendûment « éclairé » du malade alors même que d’éclairage, il n’en est proposé qu’un seul, univoque, qu’il s’agit uniquement de faire accepter. Les autres pratiques, de nature holistique précisément, sont désignées comme ce qui ne « marche pas », car s’il en était autrement, depuis le temps, « cela se saurait ! »… Leçon d’humilité pour ma propre personne, car qui suis-je, moi qui pratique quotidiennement des méthodes holistiques dont je dis haut et fort qu’ils ne se substituent en aucun cas au diagnostic ni à la prescription du médecin, pour me croire à l’abri de la pression familiale, sociale et plus encore médicale le jour où, confrontée pour moi-même ou l’un de mes proches à une maladie à l’issue incertaine, je n’aurai à l’évidence plus le même angle de vision, plus la même froideur de jugement, et des choix inévitablement biaisé par l’écrasante supériorité du savoir du corps médical sur mes modestes connaissances de praticienne en bien-être. Raison de plus, me sembla-t-il alors, pour creuser davantage ces sujets, élargir le champ de mes compétences, c’est-à-dire, pour résumer ma démarche en reprenant à mon compte l’un des cinq idéaux du Reiki, travailler honnêtement et sur moi-même. C’est à cette époque-là que fut porté à ma connaissance le témoignage d’Arielle Essex, connue aujourd’hui pour son action dans le domaine du développement personnel et de la programmation neuro-linguistique. Condamnée selon la médecine classique par une tumeur cérébrale, elle était parvenue à l’auto-guérison en choisissant d’envisager cette épreuve sous un autre angle que celui du combat. Au lieu d’attraper ce mal funeste à bras-le-corps en lui déclarant une guerre sans merci, elle avait décidé de considérer chaque symptôme, à commencer par les insupportables migraines qui avaient précédé chez elle l’apparition effective de la maladie, comme autant de messages ayant quelque chose à enseigner à l’être humain à qui ils s’adressent. Dans cette perspective, la maladie n’est plus un ennemi, mais l’enseignant d’une école rude il est vrai, et dont certes on préfèrerait pouvoir se passer, mais qui ne quittera votre vie que lorsqu’il aura fini de vous transmettre les changements devenus nécessaires dans votre environnement et votre quotidien. Dès lors que vous aurez entendu et commencé à mettre en pratique le message qui vous est envoyé, vous donnerez à ce professeur aux méthodes sévères le signal d’un départ dans la paix plutôt que dans une hostilité où celui qui laisse le plus de plumes n’est autre que vous-même.
Remarquons qu’il en est exactement de même en ce qui concerne les maladies microbiennes. On sait aujourd’hui que tout microbe (bactérie ou virus) ne peut causer de dégâts dans un organisme que s’il y trouve une structure d’accueil, c’est-à-dire un terrain fragilisé par un système immunitaire affaibli, ou bien parce qu’il ne reçoit pas quotidiennement les nutriments appropriés, ou bien par un contexte psycho-émotionnel envahi par des émotions destructrices nourries par des pensées angoissantes. Dans ce contexte, les microbes, dont du reste beaucoup d’espèces sont nos amies (que l’on pense au microbiote buccal, intestinal etc.), sont à considérer comme une population potentiellement hostile mais avec laquelle il pourrait être judicieux de nouer des relations diplomatiques. Avec des soignants qui cultivent un tel état d’esprit, admettant volontiers l’importance primordiale du terrain et pratiquant comme règles de base des principes d’Hippocrate tels que « premièrement ne pas nuire » et « que ton aliment soit ton médicament », on peut se prendre à espérer que deviennent enfin complémentaires et non antagonistes, médicaments chimiques issus des avancées de la connaissance scientifique et traitements naturels validés par des siècles voire des millénaires d’expérience. Va-t-on enfin se mettre à rechercher ensemble les moyens de soulager toute personne malade de ses symptômes les plus pénibles tout en l’accompagnant pour restaurer la totalité de son être (corps, âme et esprit) dans un équilibre harmonieux dont la maladie, de quelque nature qu’elle soit d’ailleurs, est seulement venue révéler la perte ? Et si l’art de soigner, c’était en tout premier lieu celui de se mettre à l’écoute de la personne, des douleurs de son corps, des inquiétudes de son psychisme, de ses angoisses existentielles quant au sens à donner à sa vie et à ce qui est, à l’instant présent, en train de s’y jouer ? Et si le choix d’un protocole thérapeutique, lequel peut bien sûr faire intervenir en synergie l’approche chimique et une ou plusieurs disciplines complémentaires, venait seulement comme suite logique d’une telle qualité d’écoute ?
Guérir avec la médecine holistique, possible ou non ?
Tel est aussi le message de Jean-Marc Dupuis dans une lettre de Santé Nature Innovation entièrement consacrée à la médecine holistique dont je vous livre ici quelques extraits assortis de mes commentaires. Vous allez voir que le grand professeur dont il était question au début du présent article n’est pas le seul, bien loin de là, à user de métaphores guerrières pour évoquer notre rapport à la maladie.
La médecine conventionnelle est organisée comme une armée engagée dans une lutte à mort contre les maladies.
Elle agit comme si les maladies étaient une sorte d’armée étrangère cherchant par tous les moyens à attaquer l’humanité.
D’une part, il y aurait les « bons » petits êtres humains, qui ne demandent qu’à vivre en bonne santé ;d’autre part, il y aurait les méchants microbes, virus, tumeurs, gènes défectueux et germes infectieux en tout genre qui chercheraient à les rendre malades.
À coups de vaccins et de médicaments, elle prétend construire autour des gens un bouclier de défense qui les protégerait de tous les dangers, y compris des conséquences de leurs propres actes.
Son but rêvé est d’appliquer des solutions globales, universelles, qui minimisent la participation des individus à leur santé tout en les protégeant au maximum.
La médecine est envisagée comme un grand Combat entre les forces du Bien et du Mal. Le Mal, ce sont les maladies. Le Bien, dans sa vision, ce sont les médicaments.
Lisant cela, je crois entendre comme en écho cette pensée du maître Omrram Mikhaël Aïvanhov:
Il existe des remèdes pour toutes les formes de maladies, mais à condition de bien connaître l’ÊTRE HUMAIN, sa structure, les énergies qui circulent en lui et les relations qu’il entretient avec l’univers telles que la science ésotérique les a étudiées depuis des milliers d’années. Trop de gens qui se disent spécialistes et qui prétendent s’occuper de l’être humain, le délivrer de ses maux, continuent à le voir comme une mécanique. Ils sont loin de se douter qu’il existe en lui des forces , des entités et des intelligences encore
inconnues qui sont capables , sous certaines conditions , de fabriquer dans l’organisme des éléments qui n’y existaient pas. tous ces gens ignorent qu’au-delà du corps physique l’homme possède d’autre corps de nature subtile. sans parler de l’âme et l’esprit; comment peuvent ils imaginer guérir? c’est impossible. C’est impossible parce qu’ils s’y prennent mal, parce qu’ils ne veulent pas savoir ce qu’est réellement L’Être Humain. »
En préambule, je dois à l’honnêteté intellectuelle de préciser que les circonstances semblent avoir donné raison, en l’occurrence, au grand patron précédemment évoqué: en effet, après avoir suivi rigoureusement le protocole conventionnel proposé et subi en la considérant comme normale sa cohorte de dommages colatéraux, l’amie dont je parle ici est considérée par ses médecins comme en état de rémission complète à l’heure où j’écris ces lignes. Par ailleurs, s’il faut en croire le principe selon lequel une part de vérité se niche à la base de toutes les erreurs, faute de quoi elles ne prospèreraient évidemment pas, force est de constater que la lutte pour survivre est, il est vrai, consubstantielle à la vie elle-même. Rika Zaraï, l’une des premières voix en France à répandre le message de la médecine naturelle et holistique auprès du grand public, employait elle aussi la métaphore de nos gentils globules blancs contre les méchants microbes pathogènes, ajoutant que l’usage des fébrifuges chimiques courants devrait être réservé aux cas extrêmes car dans la plupart des situations, ils font le jeu de l’ennemi en désarmant nos lignes de défense immunitaires. mais c’est aussi pour mieux nous expliquer ce que nous pourrions changer dans notre mode de vie pour ne pas préparer à ces adversaires un environnement dans lequel ils n’ont plus qu’à venir s’installer comme en terrain conquis. La vraie limite de cette conception des choses réside, une fois encore, dans son caractère simpliste: de même que dans la nature, il y a la sélection naturelle et aussi les phénomènes de symbiose, la lutte pour la survie et ladaptation à l’environnement, de même, il y a dans notre quête de la santé, la bataille contre la maladie, et aussi l’épreuve comme parcours initiatique pour apprendre et comprendre… En médecine holistique, on explique par exemple qu’aucune épidémie ne détruit la totalité d’une population par le fait que l’ennemi n’est rien sans la collaboration évidemment inconsciente et involontaire de sa proie qui n’a fait jusqu’alors que lui faciliter la manœuvre par une alimentation inadéquate, un manque d’activité physique, une vie relationnelle insuffisamment harmonieuse ou encore une ouverture insuffisante à ce qui constitue ce que le professeur Henri JOYEUX appelle la « fine pointe » de notre esprit.
Jean-Marc Dupuis lui-même ne dit pas autre chose lorsque, restituant à la médecine conventionnelle les mérites qui lui reviennent de droit, il affirme:
La tuberculose, ça ne se soigne pas avec des vitamines. Ça se soigne avec l’isoniazide, la rifampicine, l’éthambutol et le pyrazinamide, les antibiotiques qui ont remplacé la streptomycine, et qui sont presque toujours efficaces en première ligne.
Il n’empêche qu’au-delà de la leçon d’humilité qu’est venu me transmettre, tandis que j’en étais aux premiers mois de ma pratique, le cas particulier de cette amie de fraîche date, je ne peux que faire mien ce constat sévère mais juste:
Oubli de la dimension humaine de la médecine
La médecine conventionnelle a fini par oublier qu’elle traite des êtres humains qui ont aussi des émotions, une « psyché » (esprit), des problèmes personnels qui, souvent, sont le principal obstacle à leur guérison, mais qui sont les meilleurs alliés de la médecine lorsqu’elle en tient compte.En effet, maintenant qu’ont été vaincues la plupart des maladies infectieuses même si la crise mondiale liée à la Covid 19 nous rappelle l’étendue de ce que nous en ignorons encore, , les pires maux dont souffre l’être humain lui sont infligés par lui-même ou par ses semblables, de façon involontaire mais encore plus souvent de façon volontaire.
Le tabac, l’alcool, le sucre, la malbouffe, l’absence d’activité physique, les drogues en tout genre et la pollution sont devenus les principaux facteurs qui rendent l’humanité malade physiquement.
Viennent ensuite les relations personnelles, professionnelles et sociales toxiques, qui entraînent leur cortège de dépressions, solitudes, suicides, violences, traumatismes divers, anorexies, boulimies, maladies sexuellement transmissibles, et qui, comme par hasard, vont en général de pair avec une baisse des défenses immunitaires et un plus grand risque infectieux (on parle aujourd’hui du retour de la tuberculose, de la syphilis, de la gonorrhée en France).
On retrouve ici le point de vue évoqué plus haut, conforté par la nature même du remède que propose la lettre qui sert de fil conducteur à cet article:
Notre médecine naturelle, c’est une médecine qui prend chaque patient pour un être humain à part entière, capable de comprendre ce qui lui arrive, de réfléchir sur les causes, d’envisager plusieurs traitements, pour faire des choix intelligents. Un être humain qui assume sa liberté et ses responsabilités.
Cela veut dire que la bonne santé n’est pas recherchée en avalant des médocs, mais en comprenant le fonctionnement et les besoins de son corps, et en adaptant sa vie, son alimentation, ses activités, son métier, et même ses relations et ses loisirs, aux exigences d’une vie saine.
Tout cela, évidemment, demande un investissement important. Il faut prendre le temps de lire, de réfléchir, ce qui est souvent long et fatigant. (…) Il faut accepter de ne pas toujours comprendre du premier coup.
Une fois encore, je précise que je suis bien consciente de n’être protégée contre aucune des pressions qui, face à un danger avéré, pourrait altérer mon discernement et finir par faire de moi un être fragile disposé, comme nous le sommes tous à un moment ou un autre, à confier sa vie sans se poser trop de questions, à qui parvient à se faire accepter comme plus qualifié, plus compétent, plus grand connaisseur du fonctionnement de la « mécanique humaine » que je ne peux l’être de ma propre personne envisagée dans sa conception holistique, c’est-à-dire au moins tridimensionnelle. En attendant, je persiste à affirmer ici que les animaux, que j’aime et respecte profondément par ailleurs, ne sont pas mes cousins, ni les machines mes semblables. À l’instar de Jean-Marc Dupuis, je suis de ceux qui croient qu’il ne suffira jamais, pour rendre la médecine pleinement humaine, de prescrire:
- des médicaments anti-cholestérol à des personnes qui mangent trop gras ;
- des médicaments anti-diabète à des personnes qui mangent trop sucré ;
- des antibiotiques à des personnes qui ont manqué aux règles les plus fondamentales de l’hygiène ;
- des somnifères à des personnes qui ont perdu le sens du jour et de la nuit ;
- des antidépresseurs à des personnes dont la vie part à la dérive et qui ont toute raison d’être déprimées ;
- des bisphosphonates (médicaments contre les os fragiles) à des personnes qui ne pratiquent pas assez d’activité physique et dont les os, comme les muscles, s’étiolent naturellement.
ni de se contenter de diagnostiquer:
- des maladies cardiaques et des cancers du poumon à des fumeurs invétérés ;
- des cirrhoses à des gens qui consomment plus d’alcool que leur organisme n’en peut tolérer;
- de l’hypertension à des personnes qui mangent trop et bougent trop peu.
À défaut d’avoir l’honneur d’être médecin, je continuerai, simple praticienne en bien-être que je revendique de demeurer, à étudier, à me former à toute méthode ou protocole holistique que j’estimerai assez sérieux pour mériter de faire partie de la panoplie avec laquelle je vous accompagnerai, pour peu que vous me fassiez assez confiance pour recourir à mes soins, dans votre reconnexion à votre propre réalité, corps, âme et esprit. « C’est ça la passion. » (sic). Suivant son sage conseil, je laisse ouvertes les écoutilles.
Pour aller plus loin:
Lire l’intégralité de la lettre de Jean-Marc Dupuis